Sur L’AUTRE QUI DANSE et L’altra che danza di Suzanne Dracius

"Un beau livre, à lire, à savourer comme un fruit mûr et goûteux" (François Teyssandier)
dimanche 31 mars 2013
popularité : 10%

– « L’autre qui danse »
... et étudie pour prendre contrôle de sa destinée pendant qu’Elle s’acharne à retrouver ses racines pour s’y soumettre.

Deux personnages attachants. Deux sœurs martiniquaises. Un livre écrit sur le tas, fort, tranchant qui atteste de ce que l’on sait sans vouloir l’admettre : la différence des couleurs de peau. La différence entre être homme et être femme. Entre vivre en France, terre promise et vivre en Martinique, terre natale où la misère pour certains n’a pas à envier la solitude de la vie parisienne pour d’autres.

Elles ne peuvent donc rien faire ? Victimes et complices impuissantes des hommes ? Amoureuses de la beauté musclée, de la force physique du machisme libre et inébranlable ? Machisme, maître injuste et répandu jusque dans les silences de la loi qui sait et se tait ?

Déesses et saintes à la fois. Forcément sublimes !

J’en sors colère mais tellement fière de Dracius Suzanne Dracius qui a su y faire ! Elle nous tient en haleine dans un vocabulaire approfondi, riche, imagé, fourni d’adjectifs inimaginables, parfois mal placés exprès, pour nous faire réagir à son débit d’observatrice authentique et empathique. Poétique.
C’est un film qui restera gravé dans ma mémoire, cette histoire. Merci Suzanne Dracius !

Catherine Beaufort-Auteure
9 juin 2018.

– Bonsoir Suzanne,
J’ai terminé il y a déjà un certain temps L’AUTRE QUI DANSE. On y retrouve ce style flamboyant, cette écriture si singulière, précise, raffinée, sophistiquée et en même temps familière et déconcertante à la fois, car mâtinée de termes provenant de cette langue créole qui a elle-même pris des libertés avec d’autres pour exister. Cela donne une écriture extravagante (au sens « stricto sensu » du terme).
Heureusement qu’elle est là, cette belle écriture qui nous permet de nous évader car le thème, hélas éternel et tristement d’actualité, de ces jeunes hommes et jeunes femmes qui se laissent, je devrais écrire, qui acceptent en renonçant à toute liberté même élémentaire, de se soumettre soit à un homme soit à une idée ou idéologie vaseuse et pervertie et dans ce cas, l’héroïne (mais peut-on la nommer ainsi, tant on a peu envie de lui ressembler comme on a envie généralement de ressembler à une héroïne, symbole positif s’il en est) qui n’avait rien pour être malheureuse et dont l’énergie, l’obstination que nous admirerions en d’autres circonstances, est mise au service de sa faim/fin). On a plutôt envie de la secouer et non de la rasséréner !
L’écriture est donc là, bien présente, libre, elle, et dont on sent qu’on ne pourra jamais la faire entrer dans une case !
Amitiés,
Halima SADKI, 13 avril 2016.

– Laurent Bourgeois N’guela 9 mars 2016 :
Je l’ai lu. Formidable, plein de rebondissements et... pour la suite, faites comme moi, achetez-le !

– Camille Mayne, 20 janvier 2016 :
Assez terrible, votre roman. Sans concession au monde qui entoure la femme antillaise. Vous écrivez bien, avec des mots qui sont comme la cuillère qui remue le faitout du migan de la vie sous les tropiques. Vous êtes tantôt Proust tantôt Zola.... femme à la pensée étonnante.
L’autre qui danse, le roman qui parle comme un livre ouvert, lol… Vous écrivez tout ce que ma grand mère cachait que je ne comprenais pas. Je crois que c’est un peu pourquoi mon inconscient porte peu de crédit aux écrivains hommes de la Caraïbe. Alors continuez à écrire pour toutes celles qui se sont tues....
Vous remuez les habitudes culturelles parce que vous êtes femme.
Votre livre fait de la violence juste dans ma tête.
Vous êtes la seule qui décrive avec une précision objective les paradoxes de la femme antillaise face aux traditions.
C’est violent ça c’est une réalité que j’ai cachée dans l’obscure zone de mon cerveau reptilien.
Ma grand-mère qui m’a élevé ne faisait pas confiance aux hommes. J’ai deviné un traumatisme mais lequel ? Elle est partie avec son secret.
J’ai détesté cette soumission féminine et ce retour voulu vers l’ Africain et ses croyances. Les chambres de bonne à Paris. Vous me faites voir ce que je ne veux pas
mais vous êtes juste et j’ai pénétré votre cerveau...

– Yolande Aline Helm, 13 janvier 2016 :
Magnifique Roman

– Camille Mayne, 12 janvier 2016 :
J’ai récupéré "L’autre qui danse" après plusieurs prêts avec les échos des lectrices qui me les content en privé. Même si leurs propos sont dithyrambiques, eh bien je devine qu’ils ne devinent pas tout. J’en suis à la page 50 je crois. Finalement vous n’avez pas besoin de faire votre biographie, vous mélangez vérité et fiction habilement. Il est impossible de décrire le Paris des sixièmes étages des immeubles haussmanniens comme vous le faites sans les avoir découverts. Ce que je note dans votre style c’est cette manière d’amorcer la pensée comme on remplit un barrage qui coule ensuite dans le cerveau en cascade fluide, s’arrête et recommence.
Je vous ferai part de mes impressions peut-être.
Et si votre style se bonifie le prochain roman va être .....
Bon je ne veux pas vous mettre la pression. Continuez ,continuez ,CONTINUEZ,

– Marie-Ange Tarraud, 9 janvier 2016 :
Je puise aussi ma force dans vos poèmes, vos textes remplis de messages... Je les déclame aussi pour mon bien-être... C’est du bonheur ! Merci, vous autres écrivains. L’autre qui danse c’est aussi moi, j’aime la danse. Merci pour les ondes positives. BONNE année SANTÉ...à vous !

– Marie Claude François-Haugrin, 2 janvier 2016 :
Bonne année 2016 Dracius Suzanne. Une bonne santé suivie de projets, et continue à faire danser, nous serons L’autre qui danse. Amour Paix Sérénité Réussite.

– Jabrun Vince Arnouville, 9 décembre 2015 :
Mes deux passions, le tango comme tes écrits, nous sont salutaires en ce temps où paradent tant de gogos qui crient de joie et saluent à la Hitler le retour des airs du hit sous l’Occupation !

– Renaud d’Herbais, 21 novembre 2015 :
Je viens de finir votre roman. Je l’ai aimé. Quand même dur-dur mais l’extrait "Aubervilliers" donne la conclusion. Je ne fais aucun commentaire dithyrambique, mais je les ai pensés bien fort en vous lisant. Un Capesterrien MG d’adoption (je l’espère).

– Michelle Monrose, 8 novembre 2015 :
Merci, Suzanne Dracius, pour cet excellent roman de danses pleines de sens et de substances !

– Anne-Marie M Winch, 9 octobre 2015 :
Entrez dans la danse !!!! Je l’ai fait et adoré !!!!

– Serge Michel Nef, 4 septembre 2015 :
Qu’il est sublime le regard de cette femme éclairant pudiquement de sa subtile flamme
celui qui s’y attarde, ressent sa belle âme ; on s’y interpelle, on s’y fond, on s’y pâme. C’est ainsi qu’elle s’exprime ; finesse d’esprit, maturité, élégance sublime font vibrer ses phrases, elle accorde ses mots, tels des notes exquises, elle diffuse ses propos. Fluidité, profondeur, sentiments, tout est beau. Esthète avisé, cependant, je lâche prise. J’aime son verbe poignant, ses expressions précises. L’émotion qu’elle déverse exerce sur moi son emprise. Je me mire à loisir dans les eaux ruisselantes de son imago, me projetant dans son espace, j’ investis son univers. Pourtant point je ne la découvre, c’est elle qui m’a découvert...

– Katia Radiotropicale, 3 septembre 2015 :
Suzanne, femme élégante, pétillante, grande écrivaine qui sait si bien faire danser sa plume et ses mots pour magnifier la beauté, l’éclatante richesse de notre langue française !

– Emeraude Gomez, 2 septembre 2015 :
Tu es un grand, le génie dans la littérature. L’art de cogiter me rend fou ! Surtout quand je lis des maîtres, des génies du temps aussi vampirisés, comme vous...

– Christian Griffard, 29 août 2015 :
je propose qu’on achète son nouveau bouquin en pré-vente avec une mention spéciale pour ces acquéreurs... il suffit de créer un compte Paypal... » bail’ fo’ce la »
Parfait, vous dédicacerez L’autre qui danse à votre date anniversaire pour mes filles...

– Nivito Galipot, 20 août 2015 :
J’entre dans la danse avec toi mon amie !! BON ANNIVERSAIRE SUZANNE !!! Tes mots sont toujours une respiration apaisante, une joie, du bonheur à l’État pur.

– Anne-Marie M Winch, 9 août 2015 :
Bonsoir, j’ai fini votre livre cet après-midi au coin de la piscine. Très triste mais une belle fin dans un sens. Tant d’émotions humaines. Merci !

– Anne-Marie M Winch, 6 août 2015 :
Chère Suzanne,
Doucement et le temps le permettant, je continue ma lecture de ’ L’AUTRE QUI DANSE ‘. Pourtant un livre que j’aimerais lire sans interruption. Votre expression « la midinette bovine au lieu de femme fatale » m’a fait éclater de rire. L’humour au début du livre… Mais hier après-midi, j’ai lu le passage de la violence de Enryck envers le bébé et Rehvana, whooo !! Je voyais la scène. Forte, violente, si descriptive. Je n’ose pas trop dire pour ne pas gâcher la lecture de vos lecteurs et futurs lecteurs. Man Cidalise, quel caractère ! Hier soir, je me suis replongée dans cette Martinique qui fait rêver mais avec tous ses problèmes comme partout. Plusieurs sujets sont abordés pendant la lecture. Merci à vous et quel style !!! J’encourage tout le monde à le lire, homme ou femme... Pas un roman à ’l’eau de rose’. Vivement la sortie de votre deuxième roman et je vais m’intéresser à vos autres écrits. Quel bonheur d’avoir eu la chance de vous rencontrer à Paris et découvrir votre univers ! (Merci à notre ami commun !)
Un livre que beaucoup de personnes devraient lire. Poignant !! J’adore votre style et je lirai le prochain, c’est certain, et d’autres écrits de vous. Mon mari et ma petite-fille arrivent aujourd’hui et dans une semaine, ma soeur, sa fille et son nouveau compagnon et leur petite fille viennent passer une semaine ici aussi. La maison va être pleine et occupée, plus soirées amis etc… Pourtant j’ai tant de livres qui m’attendent !! Je suis vraiment heureuse d’avoir fait votre connaissance et d’avoir découvert vos écrits. Merci de nouveau !
Il est très tôt mais j’ai dû et avais le besoin de mettre un commentaire sur votre mur !! Le silence et la tranquillité avant le chaos heureux… J’espère que mon commentaire vous plaira. De plus, je l’écris avec sincérité, sinon je reste silencieuse. Belle et heureuse journée !
Amitié
Anne-Marie

— Suzanne Dracius :
C’est moi qui vous remercie de faire voyager L’AUTRE QUI DANSE. Et n’ayez crainte, mon roman ne vous en voudra pas de le délaisser un peu pour vos agapes familiales et ce « chaos heureux » — oxymore exquis —, au sortir desquels il vous retrouvera, tout aussi amical, et vous ouvrira ses pages avec une ferveur inchangée. Merci d’aimer me lire, chère Anne-Marie !

— Ah non !!! Je veux le finir ce weekend !! Si près de la fin ; trop curieuse de connaître la fin !

– Christophe Danjou, 3 août 2015 :
j’ai lu et adoré votre ouvrage

– Anne-Marie M Winch, 29 juillet 2015 :
Un très beau roman écrit avec beaucoup d’humour. Dracius Suzanne ’ L’autre qui danse’. Je me régale avec votre livre.
Il m’accompagne ! Et quel plaisir. A découvrir !
Premier livre acheté au Salon du livre de Paris en Mars !! J’ai aussi rencontré son auteur Suzanne Dracius ! Une femme adorable , enfin je peux me plonger dans ce livre
Merci Suzanne"

– Germaine Sergent, 19 juillet 2015 :
Livre qui inspire à la méditation ... Merci Suzanne Dracius !!!

– Olivier Baudot Montézume, 5 mai 2015 :
L’autre qui danse je l’avais lu à sa sortie et j’en fus très touché. J’aime les auteurs engagés et j’aime les histoires, bien écrites au sens d’une poésie lyrique et dramatique. Faut que ça glisse quoi, que ça swingue. Comme une musique en harmonie avec le sujet ! Que ce soit surtout "intelligent".

– Odile Melidor-fuxis, 29 avril 2015 :
Suzanne Dracius : "L’autre qui danse" à lire absolument.

– Raymond Atéba, 13 avril 2015 :
Bonjour Suzanne ! Je viens d’évaluer une thèse qui a pour corpus, entre autres, votre roman, L’Autre qui danse. Elle sera soutenue à Limoges le 18 mai 2015.

– Jean-Marc Boura, 10 mars 2015 :
Bonjour Madame DRACIUS,
Je ferai bien évidemment mon possible pour me rendre au Salon du livre de Paris, car j’ai très envie de vous rencontrer ! Je ramènerai "L’autre qui danse" afin que vous me le dédicaciez, si vous le voulez bien. J’en profiterai pour continuer d’explorer votre jolie littérature... et je compte sur vous pour m’aider à mieux cerner ce qui pour moi a été entre autres choses, - en même temps qu’une énigme -, un sujet de fou rire : (et j’en ris encore !) "cette affaire de totor monté"… quoi qu’il en soit, je vous remercie encore de pouvoir de temps à autres, grâce à de rares (trop rares) auteurs comme vous, me replonger dans ma riche culture, les belles traditions de mon pays... mes origines. À très bientôt donc, et au plaisir !

– Jean-Marc Boura 24/2/15 :
L’autre qui danse... Je confirme, c’est magique ! Magnifique écriture, style raffiné, très belle littérature. On danse, sur des rythmes cadencés, langoureux, trépidants ; mais surtout, on rêve, on s’évade : on voyage... Sans compter que souvent (bonheur !), on rit aux larmes ! J’ai a-do-ré ! Merci donc chère auteure.

– Laurette Mas-Camille, 22/2/15 :
Le roman est très chouette ! A lire.

– Ghizlaine Hatil, 26/12/14 :
J’ai été l’une des premières à acheter L’autre qui danse, que tu as dédicacé… Et maintenant, il est sur les rayonnages de mon lycée, à côté de tes autres ouvrages. Joyeuses fêtes !

– Clemenceau Kancel, 8/11/14 :
Joli récit merci Suzanne.

– Yolande Aline Helm, 30/10/14 :
Un beau livre de Suzanne Dracius. Je le recommande de tout coeur !

– Laurette Mas-Camille, 26/10/14 :
Je me suis assise au soleil, ce matin, et j’ai lu… Dracius Suzanne... L’autre qui danse. Vous connaissez ma franchise. Si je parle d’un livre, c’est que je l’ai apprécié... Ce n’est pas un livre qui se dévore, mais qui se déguste. Pour ceux qui aiment les belles lettres... Moi, j’ai eu les dents dehors pendant un bon moment... Inénarrables histoires de billets magiques. Une auteure qui vaut le tour, et le détour... Merci Suzanne, autant je n’aime guère tes poèmes, autant là tu m’as eue, cueillie ! Ouaip !
Lol... J’ai adoré ! Et j’invite tout le monde à le lire !
Ceux qui se targuent d’être des Antillais ne le sont pas s’ils n’ont pas lu "L’autre qui danse". C’est la quintessence même des "îles amoureuses du vent".
Par ailleurs je te remercie sincèrement pour cette belle lecture, " L’autre qui danse " qui m’a turlupinée car, à trop se chercher, on se perd, et Rehvana nous ressemble tellement... Puis-je en mettre un petit extrait sur ma page ? bises

– Yves Priam, 16/10/14 :
À vous, madame, qui avez vu danser l’Autre, et qui, pas à pas, amenez notre peuple à apprécier, à valoriser, à aimer l’Autre qui danse, j’offre l’un de ces moments de grâce que mon oisiveté m’a conduit à suivre, à savourer des décennies durant lors des concours internationaux de danse professionnelle. Vous œuvrez pour la Beauté qui est en nous et que nous étouffons journellement. Honneur à vous pour cette pierre de plus que vous déposez sur la cité du patrimoine de l’Humanité à travers notre petit pays (comme dit le grand Kolo Barst).

– Arthur Truong, 26 septembre 2014 :
Très bon livre

– Jean Claude Nazaire, 26 août 2014 :
Suzanne, j’ai lu ton livre et beaucoup de mes amis aussi, en fait si tu n’existais pas il aurait fallu t’inventer, tu fais honneur à ton pays ..

– Alexandre Alaric, 10 juillet 2014 :
…Et j’aime autant L’autre qui danse. Merci Suzanne

– Olivier Baudot Montézume • 20 avril 2014 :
j’avais découvert ton roman à Paris, j’étais à la fac... j’avais beaucoup aimé.

– Francoise Girard Rupaire • 5 mars 2014 :
j’ai beaucoup aimé votre livre que je relirais avec plaisir ...

– Andrea Novick • 17 décembre 2013 :
je suis en train de dévorer ton livre, j’adore !
Amitiés

– Sandrine Pujar • 3 juin 2013 :
J’espère bien que VOUS continuerez à me régaler avec vos livres, comme ce fut le cas avec "L’Autre qui danse" !

– Gilles Vicrobeck • 29 mars 2013 :
Je relis avec plaisir ces quelques lignes de Lautre qui danse..... Je crois même que j’en referai la lecture !!!

Muriel Moustin • 29 mars 2013 :
snif snif , j’ai terminé ce roman aujourd’hui.... suis triiiiiiiiiiiiiste. Belle fin, j’en ai raté la station de train... bon que vais-je lire maintenant....

Francoise Girard Rupaire • 31 mars 2013 :
 :
Je lis votre ouvrage en ce moment ...

– Zef RosnBrick • 28 mars 2013 :
Super publication

– Murielle Brieu • 5 mars 2013 :
" Un roman douloureusement intense, mais nécessaire." Et salvateur, Chère Suzanne, salvateur ! ...

– Fred Michalon • 13 février 2013 :
j aime votre livre

– Nivito Galipot • 13 février 2013 :
Un talent comme je les aime.

– Murielle Brieu · 9 février 2013 (à propos de l’extrait de L’Autre qui danse sur le Carnaval) :
Extrait de mon roman fétiche !

– Muriel Moustin • 9 février 2013 :
ha ha je ne lis pas votre post ; j’ai arrêté dés que j’ai vu le prénom "Enryck ", je suis en train de lire "L’Autre qui danse", c’est une véritable découverte, cela me remplit d’émotion, au début je devais m’arrêter de lire un moment tellement que c’était fort. Maintenant ça va mieux, j’en suis où la voisine un peu toquée de Rehvana lui parle de Totor. Je ne connais la Martinique que pour les vacances (et j’adore ainsi que la famille de là-bas), mais il y a tellement de choses qui me parlent dans ce livre… J’ai l’impression d’être en famille, ou d’être là-bas… Grâce à vous tous les matins pendant les 30 mn de transport... je suis à 7000 KM, je voyage... Alors la prochaine fois que vous serez sur la capitale, je viendrai me faire dédicacer le livre... Je ne sais pas pourquoi mais je pense souvent à Pablo Neruda, (Confieso que he vivido), je crois que L’autre qui danse cela va devenir mon roman fétiche aussi... Et ce que je trouve fantastique avec FB, c’est que je peux lire vos posts et vous écrire. Vivent les nouvelles technologies…

– Yves-Lise Magar 8 décembre 2012 :
il est formidable ce livre

– Murielle Brieu 2 novembre 2012 :
Via le souverain pouvoir de catharsis et donc de guérison de la littérature, pour moi, "L’Autre qui Danse" participe de ce processus.

– Murielle Brieu 2 novembre 2012 :
A offrir aux gens que vous aimez.

– Teklal Neguib 2 novembre 2012 :
Un livre absolument génial et toujours d’actualité !

– Murielle Brieu, avec en présent les noix de Grenoble, lors de la conférence à l’université le 25 /10/ 12 :
Soeur calazaza, mais aussi de coeur et d’esprit, merci d’exister !…

– Suzy Duport 9 septembre 2012 :
« Et oui, malgré les années passées notre prof nous communique des éléments forts utiles... Suzanne Dracius Star. »

– Emie Passavin 8 septembre 2012 :
Criant de vérité !

– Teklal Neguib 8 septembre 2012 :
Un excellent livre par ailleurs et très actuel !

– Sylvie Mariette Gilberte Tranchant-Rousseau 8 septembre 2012 :
très beau texte et cause fort utile ♥ ♥

– Murielle Brieu 2 septembre 2012 :
Je transporte un jardin dans mon cœur : il se nomme : "L’Autre Qui Danse"

– Suzy Duport 19 août 2012 :
Une lecture dont je ne me lasse pas... Un grand merci

– Sonia Riou 18 août 2012 :
magnifique, Suzanne !

– Emie Passavin, 1er juillet 2012 :
Ma frustration restera présente tant que je ne vous aurai pas rencontrée. Bonne continuation, beaucoup de succès dans la vente de vos LIVRES. Une précision de plus, je sens beaucoup de douceur à travers vos écritures et d’harmonie et aussi d’autres qualités que je ne puis vous citer en quelques lignes. Il faudrait toute une vie et des milliards de tomes pour vous décrire !

– François Teyssandier 26 avril 2012 :
Un beau livre, à lire, à savourer comme un fruit mûr et goûteux...

– Patricia Fouche 7 avril 2012 :
« Je retrouve bien "la Dracius" de conviction combative !!! »

– Françoise Hervé 23 mars 2012 :
« mon premier roman de Suzanne Dracius... lecture délicieuse ! je n’en resterai pas là ;-)) »

– François Teyssandier 1er février 2012 :
J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce livre... Une écriture souple, déliée, charnelle...

– Murielle Brieu 30 décembre 2011 :
« Je viens de refermer L’Autre Qui Danse !
Je viens de vous découvrir : comme vous et comme Baudelaire, je crois infiniment aux Correspondances.
Rehvana est ma sœur.
Sœurs spirituelles et physiques nous sommes. Sœur de sangs et sœurs de cœur.
Comme Rehvana, je suis marquée du sceau « chabine calazaza »…
Comme elle j’ai maladroitement et spectaculairement tenté une recherche identitaire « En et par ce pays »
que beaucoup (famille, amis et autres) trente ans après, n’ont pas encore compris (pas même moi !).
‎..Et puisque ne sachant qu’écrire, Au moins pour toi j’écrirai Par toi et après toi J’écrirai.
Merci infiniment … Désormais je ne me sais plus seule.
Je vous souhaite une Bonne Année 2012, remplie de joies et de Créativité »

– François Teyssandier 25 décembre 2011 :
« Beau livre à lire, dans toutes les langues de la Terre ! »

– Camille Mayne 16 décembre 2011 :
…pour exorciser cette souffrance multiculturelle d’être de partout et de nulle part à la fois, c’est comme une auto-psychanalyse, un lent retour vers l’absurdité des chromosomes qui ont emmagasiné l’avant comme des éponges assoiffées.
J’ai lu Césaire, Confiant, Zobel, Glissant, Chamoiseau, Pépin et les autres... Je ne me suis jamais reconnu dans les Antilles qu’ils écrivent, leur tropique n’est pas le mien. Je ne suis arrivé à la fin d’aucun de leurs romans ou poèmes, leur négritude me pèse. Leur âme est trop rapidement mise à nu.
J’ai découvert dans ma généalogie des réponses apaisantes à mes questions existentielles. Depuis je lis et perçois l’histoire des Antilles d’une façon différente.
Votre écriture, sa manière de battre la mémoire, est certainement la plus proche du mélange subtil du parfum d’enfance qui hante mes sens. Je devine que nous avons le même passé ambigu, vous aux Terres Sainville, moi à Sainte-Thérèse.
Papillonnez, jolie Suzanne, d’îles en îles, de pays en pays, de continents en continents ; vous trimbalez votre passé en vous comme votre brosse à dents dans sa trousse... En écrire des bribes c’est secouer le cocotier sans faire tomber les cocos.
Un jour viendra, dans cette vie ou la prochaine, où vous ne vous cacherez plus derrière vos romans.
La puissance de votre style fera le reste.
Bises, princesse des mots

– François Teyssandier 15 décembre 2011 :
« Un beau livre, à lire... »

– ici Juan qui en est à la page 73 (les racines de pierre) de votre livre qui impose le vouvoiement. Il est pluriel, d’une densité sublimement mangrovienne. Je m’y complais, je prends un bain debout pour ne pas tomber dans l’extase d’une écriture d’une incroyable richesse. Vous me bluffez madame, j’ai hâte de vous serrer dans mes yeux.
Telluriquement vôtre, Madame la Volcanique,
Juan l’Euskadien alias Jean Cormier 14/11/11

Samedi 12/11/11 :

– Laurentine Bisse-jenaste
bravo !

– Suzanne Dracius Merci ! Et bravo à Leonarda Oliveri pour sa très belle traduction, aux éditions Giovanni Tranchida Editore
http://www.ibs.it/code/9788880033356/dracius-suzanne/altra-che-danza.html

L’ altra che danza - Dracius Suzanne - Libro - IBS - Tranchida - Narratori
www.ibs.it

L’ altra che danza è un libro di Dracius Suzanne pubblicato da Tranchida nella collana Narratori

– François Teyssandier
Un beau livre...

– Laurentine Bisse-jenaste
En train de finir un livre, ma prochaine auteure sera vous

– Chantal Nabec Fenouillère
Oui L’autre qui danse est un beau roman : l’illustrateur de la couverture a-t-il lu le roman ?

– Suzanne Dracius :
Chère Chantal, je l’ignore, mais je sais que l’illustrateur a longuement et consciencieusement travaillé, en correspondance étroite et régulière avec la traductrice, la talentueuse et scrupuleuse Leonarda Oliveri, et l’éditeur, Giovanni Tranchida Editore, qui prend son métier très à coeur. Il y a eu plusieurs étapes d’élaboration du dessin, nous en discutions ensemble, et je trouve que celle qui a été retenue finalement est très réussie, car elle rend bien la valeur à la fois réelle et symbolique, voire onirique de la danse dans ce roman.

– Chantal Nabec Fenouillère
Oui Mme Dracius, c’est une belle illustration. Je n’ai pas dit le contraire.

– Manuel Rodrigues
Merci Suzanne :)

– Laurentine Bisse-jenaste
Bon alors "l’autre qui danse" sera mon prochain livre de chevet, l’occasion de vous découvrir

11/11/11 :

– Marloue Mona : yesss !!

Sasso Irène : C’est bien !

L’ altra che danza - Dracius Suzanne - Libro - IBS - Tranchida - Narratori
www.ibs.it

L’ altra che danza è un libro di Dracius Suzanne pubblicato da Tranchida nella collana Narratori

La très belle traduction de Lea Oliveri, aux éditions Giovanni Tranchida Editore
http://www.ibs.it/code/9788880033356/dracius-suzanne/altra-che-danza.html

– Laura Pelusi :
Livre exceptionnel. J’adore.

– Nancy Naomi Carlson, 16 septembre 2011 :
« Merci pour "L’autre qui danse". J’observe dans les premières pages — et les dernières : la table des chapitres — que l’on peut les lire comme la poésie ! »

– « j’ai adoré ce livre »
Gina Sinapin, 29 juin 2011

– « Bravo Suzanne ! tu fais partie de ceux qu’on sent et on pense que la littérature va au delà de la fiction. »
Pablo Poblète, 3 juin 2011

– Je passe par ici, pour saluer La grande Dame de notre Culture Martiniquaise, Antillo, Guyanaise, Française : ""Suzanne Dracius"". Très grande dame, à travers la POESIE… Une écrivain, par ses écritures, et aussi une excellente Romancière... Je te salue. Et j’en profite pour te faire de gros Bisounoursssssssss tellement je suis heureux de te rencontrer sur Facebook et aussi de découvrir tes talents Suzanne Dracius... Merci !!!!! "Respect"
Daniel Roger, 19 mai 2011

– Quel talent !! et finesse
Mady Meynaert, 15 mai 11

– L’Autre qui danse est un beau livre, plein de suc et de chair, rempli d’odeurs et de parfums, d’une vie lumineuse qui éclate à chaque mot et dans chaque mot... Un livre à lire !
François Teyssandier, 14 mai 2011

– Suzanne, bravo ! Tu fais beaucoup pour ce qui nous reste d’humain et j’espère que cela va continuer.
Frantz Balthazar, 14 mai 11

– Cela va de soi, le passé donne juste réflexion, une cicatrice se referme doucement mais ne doit pas rester ouverte
Jer Emy, 13 mai 11

– félicitation pour votre générosité artistique...
Charlery Labeau, 11 mai 11

– Bonjour Suzanne,
Je me suis rendu sur le lien [d’Actualitté]. Une phrase m’a surprise par son caractère abscons : "Juger un livre sur sa couverture, c’est mal. Mais le juger à la tête de l’auteur, est-ce vraiment plus raisonnable ?" […]
Cela me permet néanmoins de vous encourager, chère ambassadrice, à diffuser comme vous le faites la littérature créole.
Camille Mayne, 23 mars 2011

– Super Suz ! J’aurais aimé être un grand écrivain comme toi ! Au moins nous avons une grande dame qui sait ce qu’elle veut et métisse en plus ouf… Mes garçons sont métissés. Profite de la mer, ici le printemps est là, je souris à nouveau grâce aux écrivains de Madinina ! Allez n’oublie pas que tu nous représentes. Biz.
Mady Meynaert, FB, 23 mars 2011

– « Beau livre, belle langue charnelle et riche, bref de la littérature qui a du corps... »
François Teyssandier, Facebook, 2 mars 2011

– Mayra Mattei-Nadal - 1er février 2011
"Bonjour ! Je suis professeur de français et littérature à l’Université de Porto Rico et j’admire beaucoup votre oeuvre."

– J’aime vraiment beaucoup
Migail Montlouis Félicité 1 août 2010

– « Bravo, .... et merci mille fois pour la trame !
Je m’intéresse à vos écrits d’autant plus que j’en connais le prix personnel et humain.
Je vous admire déjà pour votre goût et votre maîtrise des mots.
Le titre "L’autre qui danse" est si beau !
 »
Francine Asfodela
23 juillet 2010 

– Bonjour madame Dracius, je m’appelle Marta, thanks for accepting my friend request. Je suis italienne et je suis désolée, je ne parle pas très bien le français. J’ai travaillé chez Giovanni Tranchida Editore et j’ai lu "L’autre qui danse" en italien, c’est super. J’ai aimé ce livre beaucoup et j’ai aimé beaucoup Rehvana.
J’ai senti la joie, l’amour, le désespoir, le chagrin… un livre qui évoque des émotions fortes, et axé sur des questions très importantes.
Merci beaucoup pour cette précieuse expérience ! Merci à vous, "L’autre qui danse" c’est l’un des rares livres qui a réussi à me bouger, la traduction italienne est très belle, je ne peux pas attendre jusqu’à sa publication. Je ne peux pas vous dire combien c’était excitant pour moi de vous rencontrer. A très bientôt !
Marta Mazzolari (Italie)

– "J’aime L’autre qui danse et la traduction est superbe ! Merci Suzanne pour votre roman ! J’espère qu’il aura le succès qu’il mérite."
Alice Avanzi, sur Facebook, 25 février 2010

– I worked in Tranchida during a stage last year and I had the opportunity to read the book "in advance" : it’s a beautiful book, very interesting and so well-written ! Congratulations !
Clara Arosio, 15 février 2010

– Je suis content pour Suzanne Dracius que j’avais rencontrée au Salon du livre de Paris 2005.
Sa prose lue dans "L’autre qui danse" était remarquable mais je ne la connaissais pas vraiment en poésie bien qu’ "Aux horizons du Sud" était annonciateur.
Je commanderai donc ce livre (Exquise déréliction métisse)."
Dany Dalmayrac, Nouméa, 1 novembre 2009.

• "Ça d’vrait être coton, vu que le soleil n’existe pas au pays des saules. L’Autre qui danse, De Suzanne Dracius et Milton’s Poetical Works. Savoureux."
Lectures Estivales - 30 /07/ 2008
cliquer ici : Djibnet.com Nomad’s Land

– "Bonjour,
Je vous fais part de mes impressions après la lecture de votre livre — L’AUTRE QUI DANSE — que j’ai dévoré, ce qui est surprenant car je ne suis pas une amatrice de romans.
C’est un récit de vie vibrant et accablant.
Je sais qu’il y a tant de Rehvana au monde pour si peu de contes qui finissent bien. La vie est déjà si dure pour les femmes noires, pourquoi se condamner ainsi ?
Tous ces clins d’oeil aux traditions antillaises dépassées, à la crédulité mystique, à l’orgueil déplacé, à cette identité africaine caricaturée, à la mauvaise qualité de nos relations humaines, familiales et amoureuses.
Que dire, sinon que j’ai beaucoup aimé, parfois j’ai même ri aux éclats tant les situations étaient grotesques et si probables.
Voilà, je vous remercie de m’avoir en quelque sorte réconciliée avec l’écriture romancée
."
Madeleine NGOMBA-MWANZA
Paris, 4 avril 2008

– "Je viens de lire pour la deuxième fois votre roman L’autre qui danse. De nouveau j’ai fermé le livre avec une sensation d’amertume pour le destin tragique de Rehvana, mais aussi avec la certitude qu’on peut changer peu à peu ce monde difficile en donnant voix aux victimes les plus vulnérables de soi-même et des autres.
Donner voix signifie donc écrire, lire, raconter, écouter les histoires des autres, les répéter à l’infini, sortir ainsi de soi-même, de sa propre histoire et de son isolement culturel, regarder autour de soi, prendre une position critique en face de toute forme (interne ou externe, directe ou indirecte) de soumission et de violence.
Je crois que ce livre est une révélation à ce propos : il faut absolument le faire connaître en Italie. J’ai l’intention de le proposer à quelques éditeurs italiens.
Au point de vue de la traduction, j’ai évalué avec inquiétude les parties du livre où la présence du créole est plus forte, c’est-à-dire dans les discours de Man Cidalise, langage que j’ai appris toutefois à décoder un petit peu et qui m’a enchantée (comme Rehvana !) par sa généreuse force d’invention.
Votre livre est une fenêtre sur un monde fait de violentes lumières et d’ombres profondes, plein de douleur et de sensualité, un monde étonnant et bien terrible qui toutefois, malgré toutes ses misères, peut être encore sauvé.
Très belle histoire, écriture super, je vous remercie pour m’avoir plongée dans votre univers
."
Leonarda Oliveri
Fiumefreddo di Sicilia (Italie), 2007